Deux ans de la guerre
Deux ans se sont écoulés depuis qu’Israël s’est réveillé à son matin le plus sombre , le jour où les terroristes du Hamas ont assassiné plus de 1 200 hommes, femmes et enfants, et enlevé 251 otages dans leurs foyers pour les emmener à Gaza. Ce qui a commencé comme un massacre d’une brutalité inouïe est devenu une guerre qui a mis Israël à l’épreuve sur tous les fronts. Depuis 730 jours, Israël se bat pour défendre sa population, démanteler le terrorisme et ramener les otages à la maison.
7 octobre 2023
À 06h29, les sirènes d’alerte retentissent dans le centre et le sud d’Israël, alors que des salves de roquettes sont tirées depuis la bande de Gaza vers l’ensemble du pays. Peu de gens comprennent alors qu’il ne s’agit pas d’une attaque isolée, mais bien du début d’une offensive coordonnée et de grande ampleur.
À 07h07, des missiles s’abattent aveuglément sur les villes israéliennes, poussant des millions de civils à se précipiter vers les abris. Quelques minutes plus tard, les habitants vivant le long de la frontière avec Gaza reçoivent l’ordre de rester confinés, tandis que les premiers rapports font état de terroristes armés ayant pénétré dans plusieurs localités israéliennes. À 07h37, il est confirmé qu’au moins plusieurs dizaines de terroristes du Hamas ont franchi la frontière, lançant un massacre sanglant contre des maisons, des bases militaires et un festival de musique. Par la suite, il sera établi que des milliers de terroristes avaient infiltré le territoire.
À 07h53, Tsahal déclare l’état de guerre. Le Chef d’état-major convoque une évaluation urgente de la situation et approuve les plans opérationnels d’urgence, tandis que le Commandement du Front intérieur ordonne à la population de rester dans les abris et les pièces sécurisées.
L’organisation terroriste du Hamas est identifiée comme la principale instigatrice de cette attaque et sera tenue pleinement responsable de ses conséquences.
Ainsi débute une tragédie nationale. Un massacre.
Du 7 au 9 octobre 2023 : La plus grande mobilisation de Tsahal de l’histoire
Dans les heures qui ont suivi le massacre du 7 octobre, Tsahal a lancé la plus grande mobilisation de l’histoire d’Israël. En moins de 48 heures, plus de 300 000 réservistes ont été appelés sous les drapeaux, se rassemblant à travers le pays pour renforcer les unités actives, sécuriser le front intérieur et se préparer à des opérations sur plusieurs fronts.
Parallèlement, Israël a entamé une évacuation massive dans le nord. Des dizaines de milliers de civils des villes frontalières, telles que Kiryat Shmona et Metula, ont été déplacés, après que le Hezbollah a ouvert le feu sur le territoire israélien dès le 8 octobre, ouvrant ainsi un deuxième front de guerre.
Cette mobilisation historique illustre l’ampleur de la menace à laquelle Israël faisait face, mais aussi la détermination nationale à se défendre contre les attaques coordonnées du Hamas à Gaza et du Hezbollah le long de la frontière libanaise.
13 octobre 2023 : Tsahal appelle les civils de la ville de Gaza à évacuer.
Le 13 octobre, Tsahal a publié un appel demandant à tous les civils de la ville de Gaza d’évacuer leurs foyers et de se diriger vers le sud, au-delà du Bésor. Cette directive visait à protéger la population civile, alors que la ville de Gaza était devenue le principal bastion de l’activité militaire du Hamas.
Les terroristes du Hamas s’étaient retranchés au cœur des zones résidentielles, dans des tunnels creusés sous les maisons, les mosquées et les immeubles. Ils utilisaient les habitants comme boucliers humains. Tsahal a souligné que les civils qui évacueraient s’éloigneraient du Hamas et protégeraient ainsi leurs familles, tout en précisant que le retour dans la ville de Gaza ne serait autorisé qu’à la suite d’une annonce officielle.
Cet avertissement constituait également un signal clair quant à l’intention opérationnelle de Tsahal : l’intensification des activités militaires dans la ville de Gaza. L’armée a réaffirmé son engagement à éviter les pertes civiles, tout en dénonçant la stratégie du Hamas consistant à s’abriter derrière les infrastructures civiles, mettant ainsi la population en grand danger.
Il s’agissait de l’un des plus vastes appels à évacuation civile de l’histoire du conflit, illustrant à la fois l’ampleur de l’enracinement du Hamas dans la ville de Gaza et la détermination de Tsahal à séparer les civils des zones de combat.
Du 24 au 30 novembre : Accord pour la libération des otages
Entre le 24 et le 30 novembre 2023, Israël a obtenu la libération de 105 otages, la plus importante libération de captifs israéliens détenus par le Hamas dans l’histoire du pays. L’accord, conclu sous médiation internationale, a marqué une avancée humanitaire majeure au cœur de la guerre en cours.
Des femmes, des enfants et des personnes âgées, retenus en captivité à Gaza depuis le massacre du 7 octobre, ont été libérés. Leur retour s’est déroulé par étapes sur plusieurs jours, les forces de défense israéliennes et les services de sécurité coordonnant leur transfert ainsi que leur prise en charge médicale et psychologique immédiate dès leur arrivée en Israël.
Si cette libération a apporté un immense soulagement à des dizaines de familles, plus d’une centaine d’otages demeuraient toujours entre les mains du Hamas, leur sort restant incertain. Cet accord a illustré à la fois la détermination d’Israël à ramener ses civils chez eux et le lourd tribut humain imposé par l’utilisation des otages comme arme de guerre par le Hamas.
13 avril 2024 : La première attaque directe de l’Iran contre Israël
Dans la nuit du 13 avril, l’Iran a lancé une attaque directe contre Israël, déployant des vagues de drones depuis son territoire vers l’espace aérien israélien. C’était la première fois que la République islamique menait elle-même une attaque directe contre l’État d’Israël.
Les forces de défense israéliennes (Tsahal) ont immédiatement élevé leur niveau d’alerte sur l’ensemble de leurs branches. Les systèmes de défense aérienne ont été activés, tandis que l’Armée de l’Air et la Marine israéliennes se sont déployées pour protéger les cieux et les frontières du pays.
À 23 h 00, le porte-parole de Tsahal, le contre-amiral Daniel Hagari, a confirmé que l’Iran avait lancé des drones depuis son territoire en direction d’Israël, précisant qu’ils mettraient plusieurs heures à atteindre le pays. Il a souligné que Tsahal était pleinement préparée, sur les plans défensif et offensif, ayant anticipé de tels scénarios à l’avance.
Au cours d’une bataille aérienne complexe qui a duré plusieurs heures, Tsahal a opéré en étroite coordination avec ses partenaires internationaux, dirigés par le CENTCOM américain, le Royaume-Uni, la France et d’autres, démontrant la performance exceptionnelle de l’armée de l’air et de la direction du renseignement, sous le commandement du chef d’état-major depuis le centre des opérations aériennes israéliennes.
28 juillet 2024 : L’attaque du Hezbollah sur Majdal Shams
Le 27 juillet, le Hezbollah a mené une attaque meurtrière contre la ville druze de Majdal Shams, dans le nord d’Israël. Une roquette iranienne de type Falaq-1, équipée d’une ogive de 53 kilogrammes, a été délibérément tirée sur un terrain de football où jouaient des enfants. L’attaque a coûté la vie à douze d’entre eux.
Le Hezbollah a d’abord revendiqué la responsabilité de la frappe sur sa chaîne Telegram, avant de tenter de nier toute implication. Le renseignement militaire israélien a rapidement mis en évidence la supercherie : le Hezbollah est la seule force au Liban à posséder le système Falaq-1, et la roquette a été localisée à partir d’un site de lancement situé au nord de Chebaa, dans le sud du Liban. L’attaque a été directement supervisée par le commandant régional du Hezbollah, Ali Muhammad Yahya.
Le ciblage d’enfants a mis en lumière le mépris flagrant du Hezbollah pour la vie civile, ainsi que sa dépendance envers l’arsenal fourni par l’Iran pour mener des attaques terroristes contre des localités israéliennes.
30 juillet 2024 :L’élimination ciblée de Fuad Shukr
Le 30 juillet, Tsahal a mené une frappe précise à Beyrouth, éliminant Fuad Shukr, l’un des plus hauts commandants du Hezbollah, souvent considéré comme le bras droit de Hassan Nasrallah. Cette élimination est intervenue seulement trois jours après l’attaque à la roquette qui a tué douze enfants dans le nord d’Israël.
Fuad Shukr était un conseiller militaire du secrétaire général du Hezbollah et occupait le poste de chef d’état-major de l’organisation. Il dirigeait également le projet de missiles de précision du Hezbollah, supervisant le développement et le déploiement d’armes iraniennes avancées destinées à frapper Israël. Son parcours de terreur s’étendait bien au-delà du Liban : il a joué un rôle central dans l’attentat de 1983 contre les casernes des Marines américains à Beyrouth, qui a coûté la vie à 241 soldats américains.
27 septembre 2024 : L’élimination de Hassan Nasrallah
Le 27 septembre 2024, l’Armée de l’Air israélienne a mené une frappe ciblée, fondée sur des renseignements précis, à Beyrouth, éliminant Hassan Nasrallah, le chef historique du Hezbollah. Sous sa direction, le mouvement est devenu non seulement une menace majeure pour la sécurité d’Israël, mais aussi un acteur central du terrorisme et du crime organisé à l’échelle mondiale. Outre la planification d’attentats contre des cibles israéliennes et occidentales, le Hezbollah s’est impliqué dans des réseaux internationaux de trafic d’armes, de drogue et de blanchiment d’argent, faisant de lui l’une des organisations terroristes-criminelles les plus dangereuses au monde.
L’élimination de Nasrallah a constitué une réussite à la fois opérationnelle et symbolique. Elle a frappé au cœur même de la direction du Hezbollah. Pour Israël et ses alliés, sa mort marque un tournant dans la lutte contre le réseau de groupes terroristes soutenus par l’Iran.
30 septembre 2024 : Lancement de l’opération Flèches du Nord
Tsahal a lancé l’opération Flèches du Nord avec des opérations terrestres limitées et ciblées dans le sud du Liban. L’objectif était clair : éliminer la menace du Hezbollah à la frontière nord d’Israël, démanteler les armes dissimulées dans les habitations et infrastructures civiles, et rétablir la sécurité dans le nord du pays afin de permettre le retour en toute sécurité des milliers de civils israéliens déplacés. La FINUL a été informée à l’avance, avec une coordination continue pour éviter tout dommage au personnel onusien et aux civils.
Le 6 novembre, l’Armée de l’Air israélienne a éliminé Hussain Abd Al-Haleem Harb, commandant régional du Hezbollah à Khiam, et a frappé plusieurs commandants de bataillons ainsi que des infrastructures du Hezbollah dans le quartier de Dahieh, à Beyrouth. Parallèlement, les troupes terrestres ont saisi d’importantes quantités d’armes dissimulées à l’intérieur de maisons civiles.
Plus de 100 cibles du Hezbollah ont été frappées à travers le Liban et Gaza le 7 novembre. Le 8 novembre, un centre d’entraînement du Hezbollah situé à proximité d’une base de la FINUL a été découvert, et entre les 9 et 10 novembre, des sites de lancement de roquettes ainsi que des dépôts d’armes près de Chebaa et dans tout le sud du Liban ont été démantelés.
Du 12 au 16 novembre, Tsahal a détruit les bastions du Hezbollah à Dahieh, notamment des installations déjà révélées par Israël. Les troupes au sol ont découvert des complexes souterrains cachés sous des cimetières, des dépôts d’armes dans des écoles et des lance-roquettes multiples orientés vers les communautés israéliennes. Plus de 140 lanceurs ont été détruits et plus de 200 combattants du Hezbollah, dont des commandants de la force Radwan, ont été éliminés.
Des frappes aériennes ont visé de manière systématique les centres de commandement, dépôts d’armes et batteries de roquettes à Beyrouth, Tyr, Nabatieh et dans le sud du Liban.
Le 17 novembre, Tsahal a confirmé l’élimination de Mohammed Afif, chef de la propagande et porte-parole historique du Hezbollah. Les jours suivants, les opérations se sont intensifiées : les brigades de Tsahal ont découvert des complexes de combat du Hezbollah dans les zones montagneuses ainsi que des caches d’armes dissimulées dans des zones civiles.
Les 19 et 20 novembre, Tsahal a éliminé Ali Tawfiq Dweiq, commandant de la section des roquettes à moyenne portée du Hezbollah, responsable de plus de 300 tirs vers Israël, ainsi que plusieurs commandants antichars ayant dirigé des attaques contre la Galilée occidentale. Une roquette du Hezbollah a frappé deux postes de la FINUL, blessant des soldats de la paix et révélant une nouvelle fois le mépris du groupe terroriste pour les forces internationales.
Les frappes se sont poursuivies les 21 et 22 novembre, avec le démantèlement d’armes avancées par les forces terrestres, tandis que l’Armée de l’Air élargissait ses frappes de précision dans la région de Dahieh, à Beyrouth.
16 octobre 2024 – L’élimination de Yahya Sinwar
Le 16 octobre 2024, Tsahal a confirmé l’élimination de Yahya Sinwar, le chef du Hamas et principal architecte du massacre du 7 octobre. Sa mort a été l’aboutissement de plusieurs mois d’opérations intensives menées à Rafah.
Des centaines de terroristes ont été éliminés lors de combats rapprochés et de frappes aériennes ciblées, permettant aux forces israéliennes de resserrer progressivement l’étau autour de Sinwar et d’empêcher toute tentative de fuite.
Au cours d’une opération à Tel al-Sultan, les troupes ont identifié des suspects qui ont ouvert le feu et lancé des grenades. Les soldats ont riposté et poursuivi les terroristes dans deux bâtiments voisins. Soutenus par des tirs de chars, ils ont neutralisé les assaillants. Le lendemain matin, lors des fouilles de la zone, le corps de Yahya Sinwar a été retrouvé.
L’élimination de Sinwar représente non seulement la neutralisation du principal dirigeant du Hamas, mais aussi le démantèlement de son commandement militaire à Rafah.
26 novembre 2024 – Accord de cessez-le-feu entre Israël et le Liban
Le 26 novembre 2024, Israël et le Liban ont signé un accord de cessez-le-feu, négocié avec la médiation de cinq pays, dont les États-Unis. Cet accord est intervenu après plus d’un an d’attaques du Hezbollah contre Israël, commencées le 8 octobre 2023, et à la suite d’importantes opérations de Tsahal dans le sud du Liban.
Le cessez-le-feu a officialisé la fin des combats dans la région, ouvrant la voie à la stabilisation de la frontière nord d’Israël et au retour des habitants déplacés.
8 décembre 2024 : Opérations en cours dans le sud de la Syrie
Les opérations de Tsahal dans le sud de la Syrie se poursuivent avec deux objectifs principaux : protéger la population druze syrienne des attaques menées par le régime et les groupes djihadistes, et empêcher l’accumulation de forces armées près des frontières israéliennes qui pourraient menacer les communautés civiles.
Les troupes de Tsahal ont arrêté des trafiquants d’armes, saisi des dépôts contenant des RPG, des fusils et des munitions, et déjoué plusieurs tentatives de groupes armés cherchant à renforcer leur présence dans la région d’As-Suwayda. Des frappes aériennes et terrestres ont visé des chars, des lance-roquettes, des pick-up armés de mitrailleuses lourdes, ainsi que des infrastructures clés du régime syrien, notamment le quartier général militaire près de Damas.
Le long de la frontière, les troupes ont empêché plusieurs tentatives d’infiltration depuis Hader, ramené en sécurité des civils ayant traversé la frontière vers la Syrie près de Majdal Shams, et maintiennent une vigilance constante face aux menaces potentielles. Les forces stationnées sur le plateau du Golan ont été renforcées, les systèmes de défense aérienne mis en alerte, et les opérations de renseignement intensifiées.
Du 15 janvier au 22 février 2025 : Deuxième libération des otages détenus par le Hamas
On January 15, 2025, Israel secured the release of 33 living hostages in the first stage of the ceasefire deal with Hamas. This marked another significant milestone in returning civilians held captive since the October 7th Massacre.
The returnees included children, women, and men, and their release was coordinated carefully to ensure safe transfer back to Israel. In addition, the remains of four dead hostages were returned for burial in Israel.
Mai 2025 : Opération Chars de Gédéon
Tsahal a lancé l’opération « Chars de Gédéon » à Gaza, avec pour objectifs de ramener 50 otages et de démanteler les infrastructures politiques et militaires du Hamas. Cette opération s’inscrit dans la continuité directe de la riposte d’Israël au massacre du 7 octobre, au cours duquel le Hamas a assassiné 1 200 civils et en a enlevé 251 autres.
Au cours de l’opération, plus de 800 cibles terroristes du Hamas ont été frappées dans plusieurs zones de Gaza. L’aide humanitaire a été acheminée vers Gaza afin de subvenir aux besoins alimentaires de la population civile tout au long de l’opération.
13 juin 2025 : Opération Éveil du Lion
Le 13 juin 2025, Tsahal a lancé l’opération Éveil du Lion, une campagne de frappes préventives de douze jours visant les programmes nucléaire et balistique de l’Iran. L’opération a ciblé deux des projets les plus dangereux du régime : le développement de l’arme nucléaire et les infrastructures de missiles.
L’Armée de l’Air israélienne a démantelé des dizaines de sites de production de missiles, détruit plus de 200 lanceurs et éliminé quatre chefs d’état-major de l’armée iranienne, plusieurs commandants et onze hauts scientifiques nucléaires. Des sites clés à Fordow, Ispahan et Natanz, comprenant des réacteurs nucléaires, des installations de centrifugation et des usines d’enrichissement d’uranium, ont été détruits, tandis que le réacteur inactif d’Arak a été frappé pour empêcher sa remise en service.
Des frappes supplémentaires ont visé les quartiers généraux du Corps des Gardiens de la Révolution islamique (CGRI), des centres de commandement nucléaire et des archives contenant des documents essentiels liés au programme d’armement. Les États-Unis ont mené, en parallèle, des frappes coordonnées historiques contre les sites nucléaires iraniens de Fordow, Ispahan et Natanz, marquant une coopération militaire sans précédent contre le programme nucléaire iranien.
Au total, plus de 900 cibles ont été neutralisées, dont 15 appareils ennemis. Un avion ravitailleur iranien a notamment été détruit à l’aéroport de Machhad, à 2 400 kilomètres d’Israël. Environ 50 % des lanceurs de missiles balistiques iraniens ont été éliminés, et de nombreux missiles ont été interceptés avant d’atteindre le territoire israélien.
Vingt-sept civils et un soldat hors service ont été tués par les missiles iraniens ayant visé des infrastructures civiles israéliennes.
Octobre 2023 – 2025 : La plus vaste opération d’aide humanitaire jamais menée à Gaza
Depuis le début de la guerre Glaives de fer en octobre 2023, Israël a facilité la plus grande opération d’aide humanitaire multinationale jamais réalisée à Gaza. Plus de 1,9 million de tonnes d’aide ont été acheminées, transportées par près de 100 000 camions, apportant aux civils des denrées alimentaires, du matériel médical et des ressources essentielles.
2023–2025 : Une guerre sur plusieurs front contre les proxy de l’Iran
Pour la première fois de son histoire, Israël a été engagé dans des combats simultanés sur sept fronts : Gaza (Hamas), Liban (Hezbollah), Yémen (Houthis), Syrie, Irak, Iran, ainsi qu’en Judée-Samarie. Ce conflit multi-fronts sans précédent illustre la menace coordonnée que représentent l’Iran et son réseau de groupes terroristes affiliés, contraignant Israël à mener de front des opérations militaires intensives, la collecte de renseignements et la protection des civils sur plusieurs théâtres d’opération.
Cette campagne met en évidence les capacités stratégiques et opérationnelles d’Israël, démontrant la capacité de Tsahal à répondre simultanément à des menaces complexes, tout en protégeant la sécurité nationale et les civils, en Israël comme à l’étranger.